mardi 30 mars 2010

NOTRE PORTRAIT


Bisous à tous
d&d

2 ans, ça se fête!







Eh oui, nous venons d'avoir 2 ans. Cela nous fait tout drôle de nous revoir plus jeunes...
Nous en profitons pour mettre quelques photos de nos vacances avec nos maîtres en camping, à la mer, à la montagne, en ville..
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mercredi 10 juin 2009

Hello c'est nous Diesele et Dunlop !

Notre famille c'est agrandi. Mimi, la chatte de la maison a eu des petits et nous ne sommes pas trop de 3 pour nous occuper de ces petits garnements...


En ce qui me concerne, je les surveille et les empêche de courir partout dans la maison. Je les ramène à leur mère...


Dunlop, elle se prend pour leur maman en allant se coucher avec eux en leur proposant ces tétines. Mais les petits ont l'air d'être contents puisque à défaut de lait il ont un nid chaud et douillet auprès de Dunlop.



Diesele

vendredi 2 janvier 2009

Sortie dans les bois




Et oui! nos sorties sont variées. Aujourd'hui nous allons nous promener avec Marilou dans les bois.
Nous avons rencontré des cavaliers, d'autres promeneurs avec des copains et des copines. Nous avons aussi trouvé un peu de boue pour se baigner, une fontaine pour y boire...
Et Dunlop courrait, courrait, courrait...




mardi 5 août 2008

Rêves de chiens !

La grange
De retour de la forêt, Thierry nous prépare notre repas que nous nous empressons d'avaler. Puis, encore une petite balade pour un petit pipi et déjà nous sommes installées dans notre couffin. Je fais deux tours sur moi-même,
puis un troisième et me réinstalle sur mon coussin confectionné par Marilou. J'ai les pattes toutes chaudes, et aussi la queue, la truffe et les oreilles. Je repensai à notre ancienne litière dans la grange, et rêvai de me coller contre maman en sentant les battements du cœur de Dunlop déjà endormie et blottie tout contre moi...

Au début du printemps, Camors était un endroit joyeux mais froid; l'air se remplissait du bourdonnement des insectes et la mare située à proximité, bien que paisible, ne connaissait que rarement le silence. Dans les fonds boueux, sur les rives, dans la mousse, dans les herbes et au creux des troncs d'arbres s'agitait en secret toute une communauté animale. La parcelle de terre sur laquelle se dressait au milieu des jardins et des allées la petite maison des Ronan se divisait pour nous, les animaux, en différents territoires.
A l'époque de notre vie de très jeunes chiots, Dunlop et moi Diesele, il y avait le territoire du mur de pierre, celui de la grange, celui du jardin, celui de la forêt, celui de la mare et celui des hauteurs. Il y avait même le territoire inconnu de l'intérieur de la maison. Tous formaient un monde animal dont la maison des Ronan était le centre: plus l'on s'en éloignait, plus on trouvait d'animaux, et plus leur existence se faisait bruyante et manifeste. L'époque dont je parle n'est pas très éloignée, et pourtant j'ai l'impression que c'était une vie entière.
Je ne peux pas dire grand chose sur les Ronan car nous étions très jeunes lorsque nous vivions sur leur territoire, et je me concentrai sur ce que m'apprenait maman. Toutefois, il était difficile d'ignorer leur existence, alors voici ce que je sais. Cette maison qui était le centre de notre monde, n'était pas le centre de leur monde à eux. Au printemps Dunlop et moi sommes nées dans la vieille grange avec la paille, les outils et une brouette au fond. Les Ronan n'habitaient pas leur maison en permanence. Ils n'étaient pas comme la plupart des animaux que je connaissais qui regagnaient leur nid, terrier ou abri chaque soir-ou chaque jour comme la chouette. Les Ronan arrivaient toujours le soir, parfois très tard dans la nuit. Puis au petit matin, ils remontaient dans leur voiture bruyante, parée de grand yeux brillants et remontaient l'allée, avant de s'engager sur la grande route. Maman observait toujours la voiture jusqu'à ce qu'elle ait disparu. Il se passait parfois plusieurs jours et plusieurs nuits avant que la voiture ne réapparaisse.
Les Ronan étaient au nombre de cinq. Je sais à présent que les enfants humains ne naissent pas par portée, comme nous, mais plutôt un ou deux à la fois, comme les cerfs. Les deux parents Ronan avaient donné naissance à trois petites Ronan. J'avais fini par apprendre leurs noms à force d'entendre les parents les appeler. Les Ronan étaient des gens très ordonnés, pas de doute la-dessus. Tout ce qui relevait de la maison ou de la propriété était toujours en ordre. Les Ronan ne possédaient qu'un seul animal de compagnie admis dans la maison, un chat "Edgar", . " à cause des microbes " nous avait dit une fois Maman qui avait surpris une conversation "et des poils" avait ajouté la mère Ronan. Quand Maman avait dit cela, j'avais tout de suite pensé aux animaux du territoire de l'intérieur de la maison. Celui-ci comptait non seulement de nombreux insectes, mais aussi une grand famille de souris, deux écureuils (dans les murs du grenier), deux crapauds et quelques lézards. Il y avait en fait plein de microbes et de poils dans la maison des Ronan, et cela m'amusa beaucoup.

Toutes les bêtes de la pr
opriété connaissaient les sentiments des Ronan à l'égard des animaux, et chacun choisissait son lieu de vie en connaissance de cause. M. Ronan avait choisi la grange pour Maman et nous, mais il existait d'autres cabanes et d'autres petits abris, chacun avec sa population propre, chacun différent des autres, chacune à la fois connectée et séparée des Ronan. Il faut savoir qu'un animal avait de quoi vivre confortablement sur une propriété comme la leur: elle était uniquement entourée de bois, de champs et de collines ondulantes. Toutes les communautés animales y prospéraient : faucons, renards, poissons, cerfs, chouettes, chats, grenouilles, araignées, papillons, serpents, écureuils, oiseaux, insectes, chèvres, moutons, vaches, chevaux...

Exception faite de nous trois, les habitants de notre remise étaient principalement le chat Edgar et des souris. Il y avait bien des insectes, mais ils étaient plus difficiles à connaître. La remise était idéale pour des chiots, et convenait très bien à Maman. C'était une petite construction conçue au départ pour un p
oulailler - les cages étaient alignées le long du mur du fond- dont la porte bâillait en permanence.
Maman une chienne croisée avait été adoptée par les Ronan quelques années plus tôt. Notre papa un griffon "fauve de
Bretagne" habitait dans une maison voisine et rend visite à Maman de temps en temps. Maman s'appelle "Gipsy" et Papa "Dog", pour nous c'est "Maman et Papa".
A notre naissance, Maman mis au monde quatre petits chiots, deux sont morts-nés. Dunlop et moi Diesele sommes les seules survivantes. Maman poussa nos petits frères hors de la remise et se mit à les ignorer. Dunlop et moi étions robustes. On se blottissait contre Maman pour se nourrir, on remuait, on gigotait, on dormait recroquevillées sur nous-mêmes, on creusait la paille, on se nourrissait à nouveau, si bien qu'après la première nuit, lorsqu'elle constata que ma sœur et moi étions toujours pleins de vie et avions bon appétit, M
aman nous donna enfin nos noms. Comme toutes les mères chiens, elle choisit des noms de choses qui lui étaient familières: je fus donc baptisée "Paille", et ma sœur "Aube".
Mes premiers souvenirs sont faits de chaleur, de plénitude et satiété. Les premiers jours de mon existence, ni mes yeux ni mes oreilles n'étaient ouverts; Aube et moi ne faisions que dormir, nous réveillant uniquement pour manger. Mais que nous soyons éveillées ou endormies, nous restions éternellement blotties dans le foin, l'une contre l'autre ou contre Maman, et je sentais leurs battements de cœur contre moi. Durant cette période, Maman quittait la remise le moins souvent possible, mais quand elle n'avait pas d'autre choix, elle se levait, un peu chancelante, nous recouvrait de foin, puis se dirigeait vers l'extérieur. Elle sortait pour aller faire ses besoins et s'alimenter dans la game
lle mise à disposition par M. Ronan tous les matins.
Quand la lune passa d'un disque plein à une moitié de disque, nos yeux et nos oreilles s'ouvrirent enfin. Le monde autour de moi se fit plus net. La tête et les pattes flageolantes, je me dressais dans la remise et parcourus la remise du regard. Il faisait sombre mais je pouvais distinguer les cages à poules, et à un moment après les paires d'yeux qui nous guettaient depuis l'intérieur. Les chats allaient et venaient du m
atin au soir.
Pendant longtemps le chiot que j'étais se sentit en sécurité dans la remise. Maman y était l'animal le plus gros, et ni les chats ni les souris ne l'effrayaient. Ma connaissance de la vie se limitait alors à notre douce remise où chaque jour se suivait et se ressemblait. Nous dormions tous les trois imbriquées en une confusion de poils, de pattes, de queues et de museaux, et Aube et moi tétions notre lait c'est tout. Lorsque Maman quittait la remise, ce qui arrivait de plus en plus souvent à mesure que nous grandissions, je jetais un oeil dans la remise pour y voir les chats et les souris: les unes qui courraient se cacher et qu'on entendait ronger et couiner, et les autres qui allaient et venaient et qu'on entendait miauler et ronronner. De temps à autre, un chat adulte ou bien un jeune chaton s'aventurait dehors et ne réapparaissait plus jamais. Je sais aujourd'hui ce qu'il en est vraiment: les souris se nourrissaient de blé, les c
hats des souris, et les chouettes et autres rapaces de chats. C'était le cycle de la vie. Mais à cette époque là, c'était le cadet de mes soucis: Maman était là, qui me nourrissait et me protégeait, et la remise était le havre depuis lequel j'observais mon univers.
Un jour, quand la lune eut changé plusieurs fois de forme et Aube et moi étions plus grandes et fortes et mieux assurées sur nos pattes; Maman nous autorisa à sortir dehors. Ce qu'il y avait derrière la remise était bien pl
us excitant que ce qu'il y avait dedans. C'était la nature! La nature avec ses oiseaux, ses fleurs, ses arbres. Plus nous l'explorions et plus nous prenions confiance. On se sautait dessus, on jappait, on se faisait peur l'un et l'autre; on bondissait, on courait, on s'entraînait à aboyer. Aube venait de me plaquer au sol, lorsque Maman apparut, se dirigeant vers nous à vive allure, saisit Aube par la peau du cou et la ramena à la remise. Je suivis. Il se passait quelques chose. Une fois dedans, Maman s'installa sur notre litière comme si de rien n'était, mais ma sœur et moi étions intriguées. C'est là que je perçue des voix humaines. M. Ronan se dirigeait vers la remise accompagné d'un autre Humain. Ils ouvrirent la porte. Et là l'autre humain me pris dans ses bras, je n'étais pas rassurée du tout. Je n'avais pas l'habitude que l'on me soulève de terre. Puis il me mit sur le dos en posant délicatement sa main sur mon ventre, je ne bougeais pas. Je m'aperçus de suite qu'il ne me voulait aucun mal. Il me reposa au sol et m'appela en tapant dans ses mains. Je m'approchais alors de lui et il me couvrit de caresses. La suite fut moins rigolote, lorsqu'il me mit dans sa voiture et quitta la maison de Ronan, en laissant Aube seule avec Maman. Je suis arrivée dans une maison encore plus grande, entourée de prairies et de forêts et où habitait déjà une chatte du nom de "Mimi". Les premiers jours, je pensai souvent à Maman et à Aube. Qu'elle ne fut ma surprise lorsque quelques jours plus tard je retourna avec mon nouveau maître "Thierry" chez les Ronan afin d'adopter également ma sœur Aube. Je m'amusa encore beaucoup avec ma maman. Thierry et les Ronan sont devenus amis ce qui nous permet aujourd'hui de revoir régulièrement notre Maman. Le plus bizarre, c'est quand Thierry nous a renommées avec de nouveaux noms "Diesele" pour moi et "Dunlop" pour ma sœur! Mais c'est vrai, il ne parle pas chien et ne peut comprendre.

Mais, je me retourne, je baille, je me retourne encore deux fois me recouche, j'ouvre un œil...
Je rêvais ?...
et je sentais le battement de leurs cœurs, blotties contre moi....



Diesele (inspirée du roman "Une vie de chien de Ann M.Martin)


samedi 26 juillet 2008

A la maison

Oh la la! nous ne savons pas pour vous, mais pour nous ce n'est pas tout les jours tout rose...
A la maison, nos maîtres ne veulent pas que nous allions visiter partout. Ils nous cantonnent dans une grande pièce où il y a un escalier en bois, des fauteuils, une table basse avec des fleurs dessus, une cheminée et notre tapis molletonné. Une fois, Diesele est allée là où dorment nos maîtres. Elle s'est faite disputée dans la chambre par Thierry et est ressortie immédiatement. Lorsque Diesele est revenue dans la salle Thierry s'est immédiatement remis a parler gentiment. Nous on préfère quand il est gentil, donc on reste dans la salle. L'autre jour, Dunlop, qui explorait la salle sous les moindres recoins a décidé de monter sur le canapé, sans doute plus confortable et plus haut que notre couche. D'un seul coup, Marilou s'en est aperçue et s'est mise dans une colère noire. Dunlop parfaitement installée dans le canapé s'est subitement relevée et a rejoint directement notre couche. Et Marilou est redevenue toute calme, et a même félicité Dunlop. Bon, nous pensons qu'ils ne veulent pas que l'on monte sur leurs affaires ou que l'on se déplace dans une autre pièce. Alors nous resterons sur notre couche, dans l'espoir d'obtenir d'autres attentions bien agréables d'ailleurs.
Eh oui! nous avons compris quelque chose. A chaque fois que nous faisons plaisir à nos maîtres, ils nous caressent. Tiens, je vais essayer, dit Diesele.
Je me rapproche de Thierry en me tordant, en me roulant à moitié par terre, prête à me glisser sur le dos et en lui léchant les mains. Et il se passa une chose à laquelle je ne m'attendais pas. Il ne m'a pas regardé, pas de caresse, et ne m'a même pas dit de retourner à ma couche, ça alors!
Pas de doute, c'est lui qui décide, c'est lui le chef!
Dans l'après midi, Thierry m'appela : "Diesele, au pied". Immédiatement je saisi ce moment trop contente que mon maître fasse attention à moi. Arrivée à ses pieds il me couvre de caresses et joue avec moi à l'aide de ma balle durant plusieurs minutes. Alors que je lui ramène la balle pour la énième fois et prête à recommencer encore, il range la balle et cesse le jeu. Je retourne à ma place satisfaite de ce moment privilégié que je viens de passer avec Thierry. J'attends déjà qu'il me rappelle pour reprendre la partie.
Hier, Dunlop refuse de se coucher sur notre couette et se met légèrement à côté face à la porte de la buanderie. Je lui dit de ne pas rester là, car elle va se faire disputer et de plus ce n'est pas à elle de contrôler les entrées et les sorties. Ce qui devait arriver, arriva. Marilou qui rentrait dans la maison avec Dunlop dans son passage n'a pas du tout chercher à la contourner et la même un peu bousculée pour qu'elle reprenne sa place.
Ah! c'est l'heure de manger. Dans la maison, nous sommes dépendantes pour la nourriture de l'ensemble de la famille soient Thierry, Marilou, Ellynn et Florent. Nous avons deux repas par jour et toujours à la même heure. Une gamelle chacune que nous devons vider dans un delais de 15 minutes sous peine de voir le reste de notre repas retiré devant nous. Mais ne vous inquiétez pas, on a compris le truc et on a toujours fini avant!
Après manger, on va faire une balade dans le terrain d'à côté. On en profite pour faire nos besoins. Au retour, nos maîtres nous félicites de notre bonne conduite et nous allons dormir dans notre chambre aménagée spécialement pour nous. La nuit, nous dormons ensembles et surtout interdit d'aboyer pour avoir le plaisir de retrouver nos maîtres à l'aurore...
Alors, vous allez nous dire qu'est ce qu'ils sont sévères et strictes... Et bien, nous on est contentes comme ça, car on connait nos limites, on est largement récompensée par la joie de nos maîtres de part notre bonne conduite. Et surtout on sait que l'on peut avoir confiance en eux, ils nous protègent, nous guident, nous nourrissent, nous soignent, jouent avec nous, nous cajoles...contre ne pas sauter, ne pas aboyer intempestivement, être propre, ne pas détruire les objets autres que nos jouets, obéir, ne pas encombrer les entrées, ne pas aller là où cela est interdit, être sympa quoi!
Parfois ils nous rappellent notre maman...
Bonne nuit...Diesele et Dunlop

DIESELE A LA PLAGE


Diesele est allée à la plage avec Thierry. Elle a pris son premier bain. Mais je pense qu'elle a appris quelque chose, on n'a pas toujours patte. Eh oui! elle est montée sur une grosse pierre avant de sauter dans l'eau. Seulement voilà, elle a disparue sous l'eau pendant environ 3 secondes. A son retour à la surface elle était un peu désorientée et commençait à nager vers le large. Thierry l'a appelé pour la guider vers la berge. Arrivée au bord, heureusement que Thierry était là car elle ne pouvait pas remonter sur les pierres qui étaient très hautes. Il l'a attrapé par son collier et sortie de l'eau.

Sur le bord, Diesele s'est secouée et a commencé à s'apercevoir que l'eau salée démange. Thierry lui a fait prendre une douche froide avec de l'eau douce pour lui enlever le sel.

Je pense qu'elle fera attention à la profondeur la prochaine fois et qu'elle n'ira pas de si tôt dans l'eau salée car, gare à la douche froide après ! Sacrée Diesele.
Bises...Dunlop

samedi 28 juin 2008

3 mois déjà







Eh oui! nous avons déjà 3 mois. Nous sommes inscrites dans une école. Nous suivons pratiquement partout nos maîtres. Parfois même cela termine en bêtises comme par exemple la fois où nous étions au bord du Golfe du Morbihan. Nous avions décidé de prendre un bain de vase. Cela nous a valu une réprimande, une douche froide et un séchage énergique. Nos repas sont divisés en deux, un le matin un le soir. Nous pesons aujourd'hui 9k 700 pour Diesele et 9k 300 pour Dunlop. Nous le savons parce que nous sommes allées chez le vétérinaire. Ah celui la, on le retient. A chaque fois il ne peut s'empêcher de nous tripoter partout. Mais en plus, encore une petite piqure. Bon nous devons partir en promenade en forêt, à bientôt.
En attendant nous voici, en peinture!...(cliquez sur les images pour vous en apercevoir)
Bises...Diesele et Dunlop

mardi 3 juin 2008

MESSAGE !


N'hésitez pas à nous laisser un petit message et à participer au vote dans la marge, merci...

Paisibles

Nos maîtres souhaitent de temps en temps être seuls et ne pas nous avoir dans leurs (pattes) jambes. Nous nous faisons oublier dans un coin du jardin...

Morsure inhibée

Nous nous entraînons à nous mordre dans le jeu, sans jamais nous faire de mal!

samedi 17 mai 2008

Et maintenant à l'école !

Nos maîtres ont décidé que nous devions nous rendre à l'école des chiots. Le premier jour nous étions un peu stressées et surprises de voir tous ces élèves, de toutes tailles, de tout les âges, de toutes les races, venir nous renifler et même parfois nous bousculer. Mais il en fallait plus pour nous impressionner. Nous avons répondu aux invitations au jeu, en gardant un peu de distance avec ces grands qui nous mettent leurs pattes dessus et qui n'hésitent pas à nous mettre des coups de museau pour nous pousser. C'est chouette l'école...
Puis nos maîtres, nous ont rappelé et rentré dans une espèce d'enclos dans lequel se trouvaient des objets en bois grands ou petits et qui parfois bougent. Et là, il n'y avait plus qu'un seul humain qui parlait. Tout le monde écoutait. Nous avons été détachées et invitées à jouer avec nos autres congénères (ils nous appellent comme ça! Pour nous c'est des copains et des copines, enfin..). Au bout d'un moment, voilà qu'ils nous rappellent encore. Ils ne savent pas ce qu'ils veulent!
Voilà que maintenant, ils nous attachent avec une ficelle. Ensuite ils n'arrêtent pas de nous parler, nous pensons qu'ils veulent qu'on marche à côté d'eux car à chaque fois que l'on s'approche, nous avons le droit à une croquette, à notre jeu ou encore à une caresse monumentale.
Mais ce n'est pas tout. Maintenant, ils nous incite à nous asseoir, puis nous coucher pour terminer avec un debout. Ils disent le mot une fois que nous avons réussi, une récompense. Bon d'accord pour la récompense, mais on savait déjà faire ça avant avec notre maman. Après tout, nous sommes contentes de leur faire plaisir comme ça ils sont gentils avec nous, et nous sommes heureuses que nos maîtres soient heureux.
Tient la maîtresse prend un bidon rempli de cailloux et voilà qu'elle nous casse les oreilles en le jetant par terre. Nous attendons tranquillement que ça se termine.
Ah! l'heure de la récréation. Nous sortons de l'enclos, après notre maître s'il vous plaît. Il paraît que passer devant ça ne se fait pas... Nous partons dans l'allée et vite vite nous avons envie de faire nos besoins. Oh! que ça fait du bien. Ils ne pensent pas à tout ces humains, 1 heure de cours à notre âge c'est très long.
Bon, allez on recommence les cours. Repassage du portail, après mon maître s'il vous plaît. Mais là, nous la jouons indifférentes aucun regard, discrètes.
Alors là, vous n'allez pas nous croire. Voila qu'ils sortent les draps et qu'ils se couchent! En plus ils nous appellent en se cachant la tête. Qu'est ce qu'on fait? A la maison, on n'a pas le droit de jouer dans le lit, encore moins avec le linge. Bon allez, on commence à être habituées, ils font toujours des trucs bizarres, on y va. Grande surprise, ils sont contents que l'on marche sur le linge, que l'on rentre sur leur lit et en plus on a le droit de lécher le visage... Bizarres ces humains.
Pour continuer, ils ont inventé quelque chose d'encore mieux. Ils nous emmènent au bout de l'enclos pour nous laisser toute seule. Ils s'éloignent et nous rappellent en tapant des mains, en faisant couiner des jeux, en nous disant des gentillesses et si on ne va pas assez vite ils augmentent la distance en reculant, pas sympa. Il fallait nous garder avec vous, si vous ne voulez pas que l'on reste toute seule, ah! quand même.
Et pour finir, nous nous sommes rendues dans la classe des grands, pour faire de la "so... socia...lisation, socialisation, nous croyons". Oh le langage humain! Nous espérons que nos maîtres emploierons des mots simples et courts. Alors on s'est déplacées au milieu des grands, qui nous regardaient de haut. Nous aussi on va grandir!
On pensait en avoir fini quand l'éducatrice de la classe des grands souhaite faire un rappel. Y a personne qu'il lui a dit qu'on en a déjà fait un ce matin? Oh la la, en plus c'est au milieu d'une haie d'honneur avec des "congénères" de chaque côté que l'on va le faire.
Bon allez, Diesele vas y, fais leur voir ce qu'on sait faire. Au premier rappel, Diesele s'élance directement vers son maître, mais elle ne peut s'empêcher de dire bonjour aux copains copines en passant. On la reconnait bien là. Maintenant c'est à ton tour Dunlop, laquelle ignore totalement tout le monde et va se jeter directement dans les bras de sa maîtresse qui la félicite généreusement. Pas mal, pour des débutantes, non? Toute notre classe réussie ses rappels, bravo. C'est au tour des grands ...
Ouf, journée bien remplie, nous avons mérité de boire un peu d'eau et d'aller nous reposer.
A dimanche prochain.

vendredi 16 mai 2008

jeudi 15 mai 2008

Nous voilà !




Nous nous appelons Diesele et Dunlop et nous sommes venues au monde quelques jours avant le printemps...

Tiens notre papa!






Nous sommes bien occupées avec notre maman.